vendredi 27 novembre 2009

BETWEEN JOY DIVISION, NEW ORDER AND DEPECHE MODE : THE EDITORS - PAPILLON

SAM HASKINS : PHOTOGRAPHER FALLS IN LOVE EVERYDAY !

SAM HASKINS HAS PASSED AWAY.

Sam Haskins died last night. He was severely depressed after his stroke in New York in September and I suspect he suffered another smaller stroke after his return to Australia. In an act that was entirely out of character with his consistent celebration of living large, art and beauty, Sam took his own life.

Alida is being cared for by friends and Oren and I are flying to Australia as soon as possilbe.

I genuinely thought he would pull out of his post stroke depression, I had always watched him overcome challenges with a combination of intelligence, know how, buckets of creative talent and extraordinary discipline. Unfortunately the stroke on September 19th, the day his show opened at Milk Gallery, damaged the right side of his brain and he never recovered his emotional stability.

It is always a wrenching loss to see great minds and great artists departing but Sam had a recent blessing, his last rock star moment, in New York, with the huge success of his Fashion Etcetera book launch and exhibition. That recent high note was made especially poignant by the photographers, both from New York and those who came to Manhattan from all over the world, to tell Sam that they had embarked on their careers because of his books. We lost count of the number of times that was said.

Sam's fellow professionals and fans showed him enormous warmth, love and respect in New York - those memories are very fresh in my mind - and I want to thank the people concerned.

I will post an obituary later.

Ludwig Haskins (Sam's son)

jeudi 19 novembre 2009

FEW WORDS ABOUT TERRY RICHARDSON.


Terry Richardson is an international celebrity as well as one of the most prolific and compelling photographers of his generation. Known for his uncanny ability to cut to the raw essence of whomever appears before his lens, Mr. Richardson's vision is at once humorous, tragic, often beautiful, and always provocative.
Born in New York City and raised in Hollywood, Terry began photographing his environment while attending Hollywood High School and playing in a punk rock band. And he hasn't stopped shooting since. Mr. Richardson has lensed campaigns for such clients as Gucci, Sisley, Miu Miu, Levi's, Eres, Chloe, APC, Carolina Herrera, Nike, and Kenneth Cole. Terry's editorial work has appeared in magazines such as Vogue, French Vogue, British Vogue, Japanese Vogue, I-D, Dazed and Confused, GQ, Harper's Bazaar, W, and Purple, as well as a host of worldwide publications too numerous to mention.

Mr. Richardson is also a favorite among famous actors and musicians. His impressive list of subjects includes Daniel Day Lewis, Faye Dunaway, Leonardo DiCaprio, Vincent Gallo, Tom Ford, Marc Jacobs, Sharon Stone, Mickey Rourke, Jay Z, 50 Cent, Kanye West, Mena Suvari, Johnny Knoxville, Nicolas Cage, Dennis Hopper, Maggie Gylenhall, Karl Lagerfeld, Pharell Williams, Chloe Sevigny, and many others.

Terry has been the subject of numerous group shows as well as one man shows at such esteemed galleries as The Alleged Gallery in New York City, The Shine Gallery in London, Gallery Emanuel Perriton in Paris, The Parco Gallery in Japan, and most recently, Deitch Projects also in New York City.

Many books have also been published throughout the span of Terry's career. His first book, entitled Hysteric Glamour, was published in 1998; this was followed by Son of Bob in 1999, Feared by Men Desired by Women in 2000, Too Much in 2001, and 2004 saw the publishing of both Terryworld and Kibosh.


Terry has recently made the transition from still photography to film as well, helming music videos for Primal Scream, Death in Vegas, and Whirlwind Heat in addition to television commercials for Tommy Hilfiger and the internet company Wanadoo. His feature film debut "Son of a Bitch," is currently in development and is sure to captivate audiences with its stark portrayal of a father and son's struggle with love and hate.

Whatever the medium, Terry Richardson continues to prove that he is a true American Original.


SOME PICS OF GEORGINA ON THE SHOOT !




VIDEO FROM THE SHOOTING !

ROSIE HUNTINGTON AND GEORGINA STOJILJKOVIC ON THE PIRELLI CALENDAR 2010 BY TERRY RICHARDSON !

mercredi 18 novembre 2009

BERLIN, CAPITAL DES ARTISTES !





Le 6 novembre 1989, le mur de Berlin tombait. Berlin allait redevenir la capitale de l'Allemagne réunifiée et la métropole la plus culturelle d'Europe. Là où contre toute attente des artistes du monde entier allaient venir s'installer massivement. Visite vingt ans plus tard.


Elle ne ressemble à aucune autre ville en Allemagne. Grande, très grande, presque trop grande pour accueillir ses trois millions et demi d'habitants. Du coup, Berlin a souvent des airs de ville de province. Un détail qui frappe  : la faible circulation. Et moindre encore la nuit avec des artères pratiquement vides. Et pourtant, il n'y a pas une soirée sans fête, sans vernissage, sans concert... Dans un pays où l'on dîne d'ordinaire à 18 h 30, on peut ici manger après minuit, boire et danser toute la nuit, sans pour autant prévenir son banquier. Et si Berlin avait fait du paradoxe son maître mot  : au centre de l'Europe et de toutes les attentions, mais à l'écart de la norme et surtout du pouvoir de l'argent. Avec la chute du mur et le départ quasi immédiat de centaine de milliers de personnes vers "l'Ouest", ce sont presque autant de logements, ateliers et usines qui se sont vidés. Alors les artistes ont été les premiers à investir l'ancien Berlin-Est, transformant notamment le quartier de Mitte en place des arts. Si l'on fantasme souvent à l'image des squats qui devaient jalonner cette partie de la ville, on devrait plutôt se figurer des occupations d'espaces vides. La nuance est importante car jamais il n'a existé de revendications sociales particulières chez les artistes plasticiens s'installant dans l'ancien Est. Ni même d'envie communautaire. Juste le souhait de pouvoir disposer d'un espace suffisamment grand pour se loger et travailler. Alors, s'il pouvait être gratuit...
Aujourd'hui, tout a été régularisé et remis à neuf, transformant le gris Mitte en un quartier vivant, branché, clean à l'égal du Marais parisien ou du Chelsea new-yorkais. En quelques années, Mitte est devenu le repaire des galeries qui comptent non seulement à Berlin, mais aussi sur le plan international - Neugerriemschneider, Klosterfelde, Esther Schipper... -, en même temps qu'une zone où il fait bon flâner et prendre un verre. Alors, les acteurs de l'art ont trouvé d'autres points de chute : les artistes dans le quartier de Wedding, au nord de la flambante Hauptbanhof, les galeristes vers Kreuzberg, voire un peu plus au sud-ouest, telle Giti Nourbakhsch qui a choisi un coin du vieux Berlin Ouest, plus connu pour ses trafics illicites. D'autres, à l'image de Johann König (photo) et Isabella Bortolozzi, ont misé sur la proximité de la Postdamer platz. Autant dire qu'il n'y a plus un quartier des galeries, c'est Berlin tout entier qui est "occupé" par l'art.

Pour autant, et malgré les années, les loyers de la métropole sont restés très modestes, au regard des autres capitales européennes. Il n'en fallait pas plus pour mettre en route une incroyable machine culturelle à fort effet d'attraction. Aujourd'hui, il n'est pas rare de lire sur le CV d'un jeune artiste israélien, bulgare, vietnamien, voire français : vit et travaille à Berlin. Pour cause : la vie y est facile, avec des allures d'un Hollywood de l'art, où l'on se doit de venir tenter sa chance pour côtoyer le top de la scène artistique et y faire sa place. "Ici, les choses paraissent extraordinairement simples, comparé à Paris, Londres ou New York. Tout semble réguler par l'attrait de l'art. Dans un même bar, vous fréquentez autant de jeunes artistes que de stars de l'art contemporain. Cependant, ce caractère facile et festif a parfois ses limites: pas évident, par exemple, de compter sur un assistant le lendemain matin d'une fête. On a parfois l'impression de vivre dans une ambiance d'étudiants sur le tard", fait remarquer une jeune artiste américaine venue expérimenter l'endroit pendant quelques mois.

Mais forts de ce phénomène, ce sont aujourd'hui les galeristes et les collectionneurs qui accourent à Berlin. "Pendant des décennies, toute l'activité artistique allemande se déroulait à Cologne. Et puis, avec l'installation massive des artistes, des galeries se sont créées, incitant les collectionneurs à venir faire leurs acquisitions ici", déclare Cédric Aurelle du bureau des arts plastiques de l'ambassade de France, qui a démarré, l'an dernier, un projet d'échanges entre des galeries berlinoises et parisiennes.

En effet, Berlin compte actuellement quelque 650 galeries, essentiellement d'art contemporain, dont certaines sont même des succursales, à l'image de Daniel Buchholz, Gisela Capitain ou encore Christian Nagel, installés de longue date à Cologne et qui ont décidé d'être présents sur le terrain berlinois. "Si ces galeries n'avaient pas pris la décision d'ouvrir un espace à Berlin, leurs artistes, notamment les stars étrangères, allaient se mettre à la recherche d'une galerie berlinoise. Car les artistes internationaux veulent aujourd'hui passer du temps à Berlin pour travailler. Et bien sûr être suivis par les collectionneurs", souligne Ariane Beyn, responsable des résidences d'artistes du DAAD. Evidemment, parmi le flot de lieux marchands, seuls 10 % tiennent réellement la route. Ce sont d'ailleurs ceux que l'on trouve dans Index, l'agenda incontournable de l'art. Et si les amateurs éclairés y viennent pour leurs emplettes, ils y installent aussi parfois leurs collections. Ainsi, le consultant Axel Haubrok, dont les bureaux sont basés à Düsseldorf, n'a pas hésité à ouvrir un espace sur la Karl-Marx-Allee, à côté d'autres galeries, et y organise des expositions temporaires. Plus surprenant encore, l'an passé, le publicitaire Christian Boros, originaire de Wuppertal, a racheté un bunker de la seconde guerre mondiale pour le transformer en musée de 3000 m2 à même d'abriter sa collection (à gauche, installation de néons par Anselm Reyle). Si le lieu a nécessité plus de cinq années de travaux, les efforts semblent largement récompensés : pour preuves, la couverture médiatique du projet et la liste d'attente pour visiter l'édifice. Alors, face à tant de déploiements de fonds privés, le secteur public a bien du mal à rivaliser, même si les structures ne manquent pas.

A la fin octobre 2008, un projet de Kunsthalle temporaire a été mis en place sur le site de l'ancien Palais de la République fraîchement rayé de la carte. Mais plutôt que de pérenniser le projet, les pouvoirs publics ont préféré reconstruire à l'identique le château de Berlin, autrefois en place du palais est-allemand. Ainsi, on révise le passé à coup d'idées passéistes. Curieuse méthode pour s'engager dans le xxie siècle. Alors, l'arrivée de Udo Kittelmann, directeur de la Nationalgalerie et donc de la Hamburger Bahnhof, le musée d'art contemporain, était pour le moins attendue. En septembre dernier, il inaugurait dans la gare reconvertie la très attendue exposition "Kunst ist super" (L'art est super). Œuvres supermonumentales, superstars de l'art et publics superimpatients étaient au rendez-vous. De quoi afficher la grandeur de l'institution qui s'est appuyée sur les dons de trois collections... privées. Dons qui, faut-il le préciser, peuvent s'avérer temporaires puisque les collectionneurs ne bénéficient que durant les dix premières années du dépôt d'importants avantages fiscaux. Autrement dit, Kittelman joue la carte événementielle sans pour autant résoudre la question d'une collection publique pérenne comme le Moma, la Tate ou le Centre Pompidou en possèdent. Mais après tout, Berlin a peut-être décidé de faire un pied de nez au système en s'affirmant avant tout comme la place d'une dynamique artistique qui mise plus sur l'ébullition des actes et des idées que sur la constitution d'un patrimoine. A la chute du mur, l'art s'est immédiatement posé comme le trait d'union entre les deux Berlin, prenant de fait la forme d'un vecteur de réunification non concerté. Vingt ans plus tard, ce phénomène artistique continue d'agir avec la même spontanéité, se jouant des énergies positives comme des paradoxes, pour faire vivre, et donc évoluer, un cadre de vie et une situation à ce jour uniques au monde.


Quelques Galeries :

- Isabella Bortolozzi

Schöneberger Ufer 61, www.bortolozzi.com

- Galerie Daniel Buchholz

Fasanenstr. 30, www.galeriebuchholz.de

- Capitain Petzel

Karl-Marx-Allee 45, www.capitainpetzel.de

- Klosterfelde

Postdamer str. 93, www.klosterfelde.de

-Johann König

Dessauer str. 6-7, www.johannkoenig.de

- Christian Nagel

Weydingerstr. 2/4, www.galerie-nagel.de

- Neugerriemschneider

Linienstr. 155, www.neugerriemschneider.com

- Giti Nourbakhsch

Kufürstenstr. 12, www.nourbakhsch.de

- Esther Schipper

Linienstr. 85, www.estherschipper.com


lundi 2 novembre 2009

CALL US, HOLD THE LINE AND LISTEN TO PRINCE ! YOU GOT THE LOOK !


Here we are folks
The dream we all dream off
Boy versus girl in the world series of love
Tell me, have u got the look?
U walked in, i woke up
I never seen a pretty girl
Look so tough, baby
U got that look
Color u peach and black
Color me takin' aback
Crucial, i think i wantcha

You've got the look, you've got the hook
U sho'nuf do be cookin' in my book
Your face is jammin'
Your body's heck-a-slammin'
If love is good, let's get 2 rammin'
U got the look, u got the look

Look here
U got the look (u got the look)
U must'a took (u must'a took)
A whole hour just 2 make up your face, baby
Closin' time, ugly lights, everybody's inspected (everybody's inspected)
But u are a natural beauty unaffected (unaffected)
Did i say an hour?
My face is red, i stand corrected (i stand corrected)

You've got the look, you've got the hook
U sho'nuf do be cookin' in my book
Your face is jammin'
Your body's heck-a-slammin'
If love is good, let's get 2 rammin'
U got the look, u got the look

(there's no girl to do)
Well here we are, ladies and gentlemen
The dream we all dream of (oh, please!)
Boy versus girl in the world series of love
Slammin'

U walked in (i walked in)
I woke up (u woke up)
I never seen a pretty girl look so tough' baby (baby)
U got that look, yes u do (yes u do)
Color u peach and black
Color me takin' aback, baby
Crucial, i think i wantcha

You've got the look, you've got the hook
U sho'nuf do be cookin' in my book
Your face is jammin'
Your body's heck-a-slammin'
If your love is good, let's get 2 rammin' (now)
U got the look, u got the look

Here we are folks
The dream we all dream of

You got the look
You got the look
You got the look
You got the look
You got the look